En 2015, soit deux ans après la mort de Daniel Darc, l'album est ressorti agrémenté d'une dizaine d'inédits qui laissent à penser que les textes les plus sombres avaient été écartés de l'édition originale. Ils résonnent avec une tonalité et une émotion particulières après le départ de l'artiste : « Je suis la fleur dans la poubelle, ne me laissez pas me faner [...]. Je suis né brisé, la lumière passe à travers moi. Je suis fêlé. [...] Je n'aurais été qu'une parenthèse enchantée dans votre merdier. »